Pauwels people

Rita et Zenzi, mère et fille, optent pour Pauwels Consulting

05 Juin 2020
Dans notre série « Pauwels People », nous interviewons nos consultants sur leur vie et leur travail chez Pauwels Consulting et pour nos clients. Aujourd'hui, donnons la parole à Rita et Zenzi, mère et fille, qui travaillent toutes deux comme consultantes Life Sciences. Une situation familiale unique chez Pauwels Consulting ! Zenzi officie chez J&J en tant que Microbiology Expert Support, tandis que Rita travaille en Suisse comme Project Manager Engineering.

Bonjour Rita et Zenzi. Pourriez-vous vous présenter brièvement ?

Rita : Bien sûr. Mon conjoint Patrick et moi sommes les fiers parents de Zenzi, Egon et Reina. J’ai décroché mon master en ingénierie électromécanique en 1989. Je jongle avec les langues (français, anglais, allemand, espagnol…) et j’aime voyager et travailler en Asie et en Europe. J’ai donc beaucoup de chance, car depuis ma première mission en tant que Project Engineer chez Air Products, j’effectue régulièrement des voyages professionnels, p. ex. en Angleterre, en Écosse, en Italie, en France et aux Pays-Bas.

Zenzi Renard & Rita CrapsJ’ai découvert le nom de Pauwels Consulting pendant mes projets auprès de différentes entreprises pharmaceutiques. J’ai compris qu’il s’agissait d’un partenaire pour renforcer une équipe de projet avec des personnes dotées de connaissances spécifiques en matière de validation, de contrôle de la qualité et d’assurance de la qualité. Entre-temps, ces domaines d’expertise se sont déjà étendus. Aujourd’hui, je suis active dans le secteur pharmaceutique et biotechnologique depuis une quinzaine d’années et j’ai acquis une foule de connaissances techniques.

Je suis passionnée par « beauty, perfection, quality, uniqueness, authenticity & learning ». J’accorde une grande valeur à ces concepts et j’applique toujours une orientation résultats en vue de pouvoir les (ou au moins un) réaliser, au travail ou en parallèle.

Zenzi : Je suis donc la fille de Rita 🙂 et j’ai obtenu un master en sciences biomédicales à la KU Leuven en 2017. Peu après, j’ai commencé ma carrière en tant que coordinatrice de projets chez Medpace Reference Laboratories, qui effectue des examens cliniques. Cet emploi m’a beaucoup appris sur la planification, les dates limites et la communication claire. Depuis mes débuts chez Pauwels Consulting en 2019, j’endosse aussi la casquette de consultante Life Sciences.

Quels projets vous occupent actuellement ?

Rita : Depuis août 2018, je travaille en Suisse en tant que Project Manager Engineering pour une grande entreprise pharmaceutique. Et ce, pour le compte de Pauwels Consulting pour le projet Greenfield : « Next Generation Manufacturing Facility ». Nous élaborons une nouvelle cellule de fabrication bio selon une conception modulaire et un output optimisé. J’adore ce que je fais ici. Depuis peu, j’ai également un nouveau collègue : Jan :).

Zenzi : J’ai commencé mon premier projet chez J&J en tant que Microbiology Expert Support dans le département DPDS Microbiology. Ici, je me charge principalement des méthodes de test de la pureté microbienne des médicaments en production et du transfert de ces méthodes vers tous les sites.

Un projet à l’étranger a-t-il toujours fait partie de tes envies de carrière, Rita ?

Rita : J’avais déjà eu une expérience antérieure à l’étranger, donc je ne recherchais pas spécifiquement un autre projet à l’étranger. Mais la combinaison de la mission et du défi suisse m’ont convaincue de sauter le pas une fois de plus.

Zenzi, ta maman t’avait déjà beaucoup parlé de l’entreprise. Pensais-tu à ce moment-là que tu postulerais ici ?

Zenzi : Pas tout de suite, mais nous savions toutes les deux que nous étions en contact avec Pauwels Consulting, mais chacune à notre manière. Ma maman a choisi Pauwels Consulting car le projet suisse lui semblait être un défi passionnant à relever. J’ai opté pour Pauwels Consulting en raison de la diversité des missions auprès des divers clients et de l’ambiance.

Il est vrai que lorsque j’ai posé ma candidature, je n’ai pas dit que ma maman travaillait ici aussi. Je l’ai seulement expliqué plus tard à mon account manager Jelle Vandemenschbrugge. Bien entendu, elle est tombée des nues mais a réagi très positivement et l’information s’est propagée :).

« Réfléchir plutôt que penser »

Aimerais-tu aussi une expérience à l’étranger, Zenzi ?

Zenzi : J’y suis totalement ouverte ! Ma carrière n’en est qu’à ses premiers balbutiements et j’ai encore beaucoup à apprendre. Si une opportunité se présentait au niveau professionnel, les limites géographiques ne me retiendraient certainement pas !

Vous êtes prêt à relever un nouveau défi ?

Peut-être même à l'étranger...

Qu’est-ce qui rend un projet passionnant ?

Rita : Une mission passionnante est une mission dans laquelle j’ai voix au chapitre et je peux prendre mes responsabilités, en cherchant un équilibre entre l’application de l’expérience acquise et l’obtention de nouvelles connaissances. Je peux certainement trouver ces qualités dans ce projet, et c’est ce qui rend mon travail chez Pauwels Consulting aussi captivant.

Zenzi : Pour moi, un travail est passionnant si je peux apprendre sur le plan professionnel. J’aime les défis. Cela implique que j’aime faire face à un problème qui me demande de m’accrocher, de comprendre comment il a vu le jour et d’aboutir à une solution. Bien entendu, c’est plus agréable en étant entourée de collègues expérimentés et intelligents :), et cela ne manque pas chez Pauwels Consulting et J&J !

C’est sûr ! Comment se déroule la collaboration avec Sofie, votre collègue de Pauwels Consulting ?

Nous avons une chouette collaboration qui se passe sans encombre. J’espère qu’elle pense la même chose ! (rires). Sofie est une femme sympathique et intelligente, elle a beaucoup d’expérience et elle m’explique tout très clairement. J’apprends beaucoup à l’heure actuelle. Nous pouvons aussi parfaitement discuter de tout et de rien, pour nous détendre tranquillement pendant la pause de midi.

Qu’aimez-vous dans votre travail pour Pauwels Consulting et ses clients ?

Rita : Travailler en tant que consultante chez Pauwels Consulting me donne la possibilité de choisir des missions qui sollicitent mon expérience tout en représentant un défi suffisant et en m’en apprenant toujours davantage !

« Vous êtes aux commandes de votre carrière »

Zenzi : L’ambiance chez Pauwels Consulting a été décisive pour moi. Bien entendu, ma maman m’en avait déjà parlé mais, en tant que scientifique, je voulais le voir pour le croire. Mon premier contact a eu lieu avec Valentijn Velghe, consultant en recrutement, qui m’a accueillie très chaleureusement. Il a très bien transmis la culture d’ouverture, d’honnêteté et de soutien de Pauwels Consulting.

De plus, Sofie et Junior, qui travaille aussi chez J&J, m’ont réservé un bon accueil par la suite. Tous les mois, nous organisons un lunch avec tous les collègues J&J-Pauwels Consulting pour garder le contact, car nous travaillons évidemment dans différents départements. C’est une super initiative, selon moi !

Chez J&J, j’ai une bonne collaboration avec tous les collègues, même avec les collaborateurs fixes de l’entreprise, et je trouve cela crucial. Je peux facilement adresser mes questions à tout le monde et cela me permet d’apprendre beaucoup.

Aimeriez-vous collaborer et pensez-vous que cela se passerait bien ? 🙂

Zenzi : Bien sûr. Je pense que ma maman a beaucoup à m’apprendre. En outre, je suis curieuse de découvrir notre interaction sur le plan professionnel. Notre lien changerait-il quelque chose ou non ? Nous nous connaissons par cœur, beaucoup mieux que des collègues lambdas, nous savons les petits gestes et les traits uniques, les choses auxquelles nous accordons de l’importance… En fait je pense que, comme à la maison, nous formerions une bonne équipe professionnelle et nous nous compléterions parfaitement.

Rita : J’aimerais collaborer avec Zenzi, à condition que sa méthode de travail rejoigne la mienne. Nous sommes toutes les deux orientées résultats et concentrées sur ce qu’il faut faire dans le respect des accords conclus et ce, de la manière la plus efficace. De plus, nous pourrions probablement nous mettre au défi quant à certaines méthodes ou au plan d’approche. Cela ne manquerait pas de pimenter la collaboration !

Rita, as-tu encore un bon conseil pour Zenzi et les débutants comme elle ?

Un conseil pour les débutants, hum… N’oubliez pas que vous êtes aux commandes de votre carrière. Votre vision et vos opinions déterminent votre propre croissance, au niveau professionnel et personnel. De plus, vous n’êtes jamais seul !

Zenzi, penses-tu que ta maman pourrait apprendre quelque chose de toi ?

Ah, la question est plutôt : qu’est-ce que je ne peux pas apprendre de ma maman ?(rires). Désolée pour le cliché, mais ma maman est tout simplement mon modèle ! Une femme truffée de capacités, de connaissances et d’expériences. Je ne saurais pas par où commencer pour lui apprendre quelque chose :). Je suis donc très fière de dire que Rita est ma maman !

De sages paroles de mon enfance que j’ai apprises de, devinez qui, ma maman, s’appliquent peut-être bien ici… « Réfléchir plutôt que penser ». Étudiez toujours la situation sous différents angles, ne sautez pas à une conclusion précise sans avoir toutes les informations.

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Maxime van Belle Content Marketeer

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Soeren Raahauge: « Suivez la stratégie établie, ne foncez pas tête baissée sur les occasions. »

04 Déc 2019
Dans notre série « Pauwels People » , nos collègues se présentent et racontent comment se déroule leur travail chez Pauwels Consulting et nos clients. Aujourd'hui, nous faisons connaissance avec Soeren Raahauge, QA Project Manager à une grande entreprise pharmaceutique.
Soeren, pourriez-vous vous présenter brièvement ?

Bien sûr, je m’appelle Soeren Raahauge et je suis originaire du Danemark. Je vis en Belgique depuis septembre 2015. J’ai décidé de m’installer ici, car ma compagne habite en Belgique.

Que faites-vous dans votre temps libre ?

J’aime passer du bon temps avec ma compagne et mes amis, travailler dans le jardin ou faire un jogging dans la campagne.

Super ! Quelles études avez-vous faites ?

J’ai obtenu un bachelier en économie et en administration des affaires et un master en gestion de la chaîne logistique à l’école de commerce de Copenhague, au Danemark.

Pourquoi avez-vous choisi ces études ?

Je me suis toujours intéressé à la gestion et à l’optimisation des processus opérationnels. La gestion de la chaîne logistique est un domaine qui m’attirait, car elle peut être envisagée d’un point de vue à la fois global et plus spécifique.

Du point de vue global, elle vous enseigne comment les différents chaînons de la chaîne logistique interagissent et doivent être combinés pour fonctionner de manière optimale. Plus spécifiquement, vous apprenez comment optimiser les sous-processus à l’échelle des différents chaînons de la chaîne logistique, par exemple, comment optimiser les processus de production en recourant aux outils de gestion « LEAN ».

Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur votre parcours professionnel ou vos expériences professionnelles ?

Après avoir terminé mes études secondaires, j’ai rejoint l’armée où j’ai été nommé sergent d’une section de mortiers. C’est de cette expérience qu’est né mon intérêt pour la gestion des ressources humaines et des processus. Je savais que je voulais continuer à travailler dans un domaine qui me permette d’évoluer, de m’améliorer et d’accroître mon influence.

Après mes études à l’école de commerce de Copenhague, j’ai eu la chance de décrocher un poste de stagiaire en gestion durant deux ans dans l’une des plus importantes sociétés européennes spécialisées dans les services textiles. J’y ai géré quatre projets différents à des stades différents de la chaîne logistique. C’est ainsi que j’ai acquis de nombreuses connaissances sur la gestion de projet et l’obtention de résultats dans des délais relativement courts.

Après mon stage en gestion, j’ai poursuivi mon parcours en tant que responsable distribution et production, puis comme consultant interne chargé d’optimiser l’organisation du transport dans les livraisons aux clients danois.

Les deux années et demie qui ont précédé mon départ pour la Belgique, j’ai eu la chance de travailler comme gestionnaire de projet dans une société pharmaceutique internationale basée au Danemark. J’y ai été chargé de l’organisation de la distribution internationale.

Dans cette fonction, j’ai acquis beaucoup d’expérience dans la gestion des appels d’offres internationaux, dans la mise en œuvre des audits des partenaires commerciaux existants et futurs et dans le respect des bonnes pratiques de distribution propres aux chaînes logistiques internationales.

Comment êtes-vous arrivé chez Pauwels Consulting ?

Après m’être installé en Belgique, j’ai commencé à chercher un poste de consultant et j’ai été approché par un consultant en recrutement de Pauwels qui avait trouvé mon CV sur Internet.

Quelle a été votre première impression de Pauwels Consulting ?

Très positive. Chez Pauwels, le personnel est très sympathique et compétent.
J’ai reçu des offres d’autres entreprises de consultance également, mais Pauwels était l’entreprise la plus professionnelle et efficace dans ses relations avec les clients. C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de m’engager ici.

La réalité de tous les jours chez Pauwels Consulting a-t-elle confirmé votre première impression ?

Oui, je suis très heureux de travailler comme consultant auprès de Pauwels Consulting. C’est une société en pleine croissance, à la fois saine financièrement et attentive à ses collaborateurs.

Pauwels Consulting organise également des événements extraordinaires. Sa fête du Nouvel An, par exemple, s’inspire toujours d’un thème particulier. Les gens se mettent sur leur trente et un pour venir profiter en musique d’un moment agréable autour d’un bon repas.

Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur votre projet actuel ?

Je travaille actuellement sur un projet de deux ans pour une grosse société pharmaceutique. Il s’agit d’un projet de suivi ou d’une extension d’un projet précédent qui avait permis de construire un nouveau centre de distribution européen en Belgique, d’optimiser l’organisation de la distribution et d’implémenter le même progiciel de gestion intégré dans tous les pays d’Europe occidentale.

Mon projet vise à appliquer ces mesures à l’Europe de l’Est : implémentation d’un nouveau système PGI et optimisation de l’organisation de la distribution physique dans tous les pays d’Europe de l’Est.

Quel est l’objectif de votre projet actuel ?

Son objectif est d’assurer qu’au final, tous les pays européens utilisent le même système PGI et que les pays concernés optimisent leurs chaînes logistiques en conséquence, dans le respect des normes applicables.

Quels sont les avantages ultimes de ce projet ?

L’implémentation d’un système PGI unique dans tous les pays européens permet plus de transparence et un meilleur contrôle des chaînes logistiques européennes. Avant ce projet, les différents pays impliqués utilisaient des systèmes informatiques différents.

À l’avenir, un seul système sera appliqué à l’ensemble des pays. Cette uniformité entraînera la création de synergies : par exemple, processus standardisés pour le traitement des commandes, planning de production amélioré et meilleure gestion de la qualité grâce à une plus grande visibilité de l’état des produits et de leur localisation dans la chaîne logistique.

L’utilisation d’un même système informatique constitue l’une des bases essentielles à une organisation à la fois flexible et adaptable rapidement. Après tout, contrairement à des systèmes distincts, l’application d’un système unique permet d’implémenter plus vite les nouveaux concepts au-delà des frontières.

Voulez-vous faire des projets comme Soeren?

Quelles sont vos responsabilités pendant ce projet ?

En tant que responsable de l’activité qualité, je suis chargé d’assurer la bonne mise en œuvre de toutes les activités inhérentes à la qualité dans le projet.

Je sers également de lien entre les collaborateurs qualité concernés par le projet au niveau local et l’équipe du projet. Ainsi, je veille à ce que tous les risques locaux soient correctement traités dans le cadre du projet et que tous les objectifs de qualité du projet soient satisfaits grâce à l’implication des équipes locales.

Quels sont les délais de ce projet ?

Le projet a débuté en janvier 2016 et se terminera en 2018. Pour l’instant, aucune échéance finale officielle n’a encore été fixée.

« Les personnes impliquées vous donneront le meilleur d’elles-mêmes si elles sentent que vous vous intéressez sincèrement au domaine et que vous êtes à l’écoute. »
À quoi ressemble votre journée habituelle de travail ?

Le matin, je me rends au bureau dans le centre de distribution européen. Vu le caractère international de mon projet, je participe à de nombreuses conférences téléphoniques pour coordonner les étapes ultérieures avec les différents intervenants. Je pense qu’en moyenne, j’enchaîne environ quatre conférences téléphoniques chaque jour.

Outre le temps passé au téléphone, je travaille principalement sur différentes tâches de suivi convenues lors des appels passés et sur des tâches liées à l’avancement des projets, conformément aux divers plans de projet définis.

Généralement, je suis aussi en déplacement trois à quatre jours par mois dans les divers pays concernés par le projet. J’y rencontre personnellement mes contacts pour discuter des difficultés et des étapes ultérieures du projet.

Que trouvez-vous agréable dans ce projet ?

C’est un projet international qui implique de nombreux pays et fonctions différents. J’apprends donc beaucoup en travaillant au côté de personnes aux profils culturels et responsabilités variés. Il m’arrive aussi de me rendre dans des pays que je n’aurais pas l’occasion de visiter autrement.

Quelles sont les leçons importantes que vous avez apprises au cours des derniers mois/de ce projet ?

J’ai appris que vous ne devez jamais sous-estimer le pouvoir des autorités sanitaires locales. Même si la plupart des pays concernés par le projet sont membres de l’UE et respectent par conséquent les mêmes lignes directrices de bonnes pratiques de distribution, ces lignes directrices ne sont pas toujours interprétées de la même manière en Europe de l’Est et de l’Ouest.

Cela signifie que, si les autorités locales ont des approches légales différentes ou des exigences plus strictes, il peut être difficile d’implémenter le projet comme prévu. Ainsi, vous apprenez à être flexible et à trouver la solution la mieux adaptée au contexte local.

Pourriez-vous donner un exemple de différence d’interprétation entre l’Europe de l’Est et de l’Ouest ?

La communication avec les autorités sanitaires en Europe de l’Est est plus compliquée qu’avec les autorités occidentales. Mon expérience m’a appris que les autorités sanitaires d’Europe de l’Ouest sont plus pragmatiques. Si vous êtes en mesure de prouver que vos activités futures sont conformes aux lignes directrices de BPD de l’UE, les autorités approuveront vos activités dans leur pays.

En Europe de l’Est, les autorités sanitaires sont plus strictes dans leur interprétation des bonnes pratiques de distribution. Il est plus difficile de parler librement et d’avoir une discussion pragmatique avec elles et elles privilégient les entreprises qui travaillent sous des licences qu’elles ont elles-mêmes octroyées, plutôt que celles qui travaillent sous des licences européennes octroyées par des autorités sanitaires d’autres pays de l’UE.

Que voudriez-vous faire après ce projet ? Quelles sont vos ambitions pour l’avenir ?

J’aimerais continuer à travailler sur des projets en lien avec la qualité ou l’optimisation des processus de la chaîne logistique.

Mon ambition principale pour l’avenir est de continuer à élargir mes connaissances et à approfondir les domaines qui me sont déjà familiers. J’espère pouvoir participer à des projets qui me permettront de m’épanouir professionnellement et personnellement.

Voudriez-vous partager encore quelque chose avec nos lecteurs ? Des pensées ou une citation d’inspiration peut-être ?

Lorsque je pense à d’autres gestionnaires de projet avec lesquels j’ai travaillé par le passé, je me rends compte que ceux qui obtiennent les meilleurs résultats sur le long terme sont ceux qui ont une façon de penser objective, ouverte et pragmatique et sont capables de distinguer les causes fondamentales des questions secondaires.

J’affectionne tout particulièrement une citation d’Alex Ferguson, ancien manager à succès de Manchester United, qui disait souvent à ses joueurs :

« Suivez la stratégie établie, ne foncez pas tête baissée sur les occasions. »

Ce qu’il entend par là, c’est que les joueurs doivent rester concentrés sur la stratégie de match qui a été convenue. Ils ne doivent pas se laisser influencer négativement ou trop impressionner par les circonstances entourant le match qu’ils s’apprêtent à jouer.

Cette citation de Ferguson me rappelle l’importance d’avoir un plan auquel se tenir, même si différents intervenants veulent orienter l’issue du projet dans d’autres directions.

Si vous n’êtes pas attentif à cet aspect de la gestion de projet et si vous n’êtes pas capable de vous tenir au plan initial, il se peut que vous vous retrouviez avec une solution qui ne convienne qu’à une minorité des intervenants, et non à la majorité d’entre eux.

Ainsi, j’observe que le plan que vous élaborez est essentiel pour mener à bien les projets. Et le meilleur conseil que je puisse donner dans la création d’un nouveau plan de projet est de rester humble et ouvert aux différentes contributions que vous recevez. Après tout, la qualité de votre plan dépend de la qualité des contributions reçues des divers intervenants. Ces contributions sont la base de votre analyse et de la création de votre plan.

C’est la raison pour laquelle les compétences relationnelles sont primordiales. Les personnes impliquées vous donneront le meilleur d’elles-mêmes si elles sentent que vous vous intéressez sincèrement au projet et que vous êtes à l’écoute. Si vous entretenez de bonnes relations avec les divers intervenants concernés, ils vous recontacteront aussi pour vous communiquer des informations de suivi et, à leur tour, ils seront à votre écoute à l’avenir si vous avez besoin d’aide.

Lorsque je reçois les contributions dont j’ai besoin pour débuter mon analyse, j’essaie de les traiter le plus objectivement possible. De cette manière, je sais que mon plan ne sera pas biaisé et que je serai en mesure de m’y tenir à l’avenir, même si d’autres intervenants essaient de me faire changer d’optique ou de modifier l’issue du projet.

C’est un conseil précieux, Soeren ! Merci beaucoup pour cette interview agréable. Je vous souhaite le meilleur pour le futur.

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Pauwels people

Thomas Santy: Serialization Project Manager

27 Mai 2019
Dans notre série « Pauwels People », nos collègues se présentent et racontent comment se déroulent leur travail et leurs projets. Aujourd'hui, nous faisons connaissance avec Thomas Santy, gestionnaire de projet en sérialisation.

Bonjour, Thomas. Pourriez-vous vous présenter brièvement ?

Thomas: Avec plaisir ! Je m’appelle Thomas Santy, j’ai trente ans et j’habite une petite commune en Hainaut avec ma femme et notre petite fille qui vient de naître.

Que faites-vous en dehors du travail ?

Thomas: Eh ben, la majorité du temps, j’aime évidemment passer mon temps libre avec mon épouse et ma fille. Ensuite, je suis en train de rafraîchir notre maison. Cela prend également pas mal de temps.

Quelles études avez-vous faites ?

Thomas: J’ai décroché un master en ingénierie commerciale à la Louvain School of Management avec la spécialisation gestion de la chaîne logistique. La Louvain School of Management est l’école commerciale internationale de l’Université catholique de Louvain (UCL) à Louvain-la-Neuve.

Pourquoi avez-vous décidé d’étudier l’ingénierie commerciale ?

Thomas: Le champ de connaissances très vaste de cette formation académique me plaisait énormément. Il s’agissait d’une combinaison de cours techniques comme la chimie et la physique d’une part et de cours abordant les qualités humaines et relationnelles, comme la gestion et l’économie politique, d’autre part.

Quel est votre parcours professionnel ?

Thomas: En fait, presque depuis le début de ma carrière, je suis consultant dans l’industrie pharmaceutique. En ce moment, je m’occupe principalement de la gestion logistique, d’opérations et de projets de la chaîne logistique.

Comment êtes-vous entré en contact avec Pauwels Consulting et quelle a été votre première impression de l’entreprise ?

Thomas: Pauwels Consulting m’a offert un beau projet, justement au moment où j’étais à la recherche d’un nouveau défi. Pas besoin de vous dire que cela m’a immédiatement donné une bonne impression. (Sourire.)

Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur votre projet actuel ?

Thomas: En ce moment, je travaille dans le bureau de gestion des programmes d’une entreprise pharmaceutique internationale à Braine-l’Alleud. Notre service implémente de nouvelles mesures et réglementations, liées à la sérialisation de médicaments, dans la chaîne logistique de notre client.

« La sérialisation est plus qu’un numéro arbitraire sur une boîte. C’est un ensemble complexe d’activités ayant un impact sur toute la chaîne logistique. »

Quel est l’objectif de ce projet ?

Thomas: Nous devons veiller à ce que toute la réglementation en matière de sérialisation soit suivie correctement dans tous les pays qui reçoivent des médicaments de notre client et qui lui en vendent. Et c’est un défi considérable, vu que nous travaillons selon des délais très serrés dans un environnement en mutation permanente.

Quels sont les délais du projet ?

Thomas: Eh ben, il s’agit d’un projet assez complexe et délicat. Donc il durera au moins encore quelques années.

Quelles sont vos responsabilités pendant le projet ?

Thomas: Au sein du bureau de gestion des programmes, nous prévoyons la structure, les lignes directrices et les mécanismes de contrôle pour tous les projets qui seront lancés en tant qu’éléments du programme actuel.

Que trouvez-vous intéressant dans ce projet ?

Thomas: C’est un projet plein de défis. C’est ce que j’aime. Le cadre dans lequel nous travaillons change tout le temps, car, en ce moment, de nombreux pays sont encore en train d’établir des règles.

Ensuite, notre projet a également un impact sur toute la chaîne logistique. Le processus de bout en bout doit donc, à tout moment, être bien analysé et géré.

Avez-vous déjà appris des choses intéressantes pendant ce projet ?

Thomas: La sérialisation est plus qu’un numéro arbitraire sur une boîte. C’est un ensemble complexe d’activités ayant un impact sur toute la chaîne logistique. C’est une des leçons les plus importantes que j’ai apprises.

Quelles sont vos ambitions pour l’avenir ? À quels projets voudriez-vous travailler après celui-ci ?

Thomas: Eh ben, je voudrais surtout continuer à apprendre et à développer mes connaissances. À l’avenir, j’aimerais donc continuer à me concentrer sur la chaîne logistique et les opérations.

Merci pour cette interview agréable, Thomas, et bonne chance avec tous vos projets !

Voulez-vous faire un projet comme Thomas?

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